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metal
22/08/2005 21:42
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cradle of filth
18/08/2005 17:56
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Cradle of Filth |
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Formation : - Dani - Oral Pleasures (chant) - Nicholas - Zyklon Beats (batterie) - Gian - Carnivorous Licks (guitare) - Robin - Nocturnal Pulse (basse) - Stuart - Infernal Overkill (guitare) - Lecter - Unbiblical Chords / Torture Ch |
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Cradle of Filth, LE groupe de black métal par excellence, vit le jour durant l'été 1991 en Angleterre, avec Dani au chant, Paul Ryan à la guitare, John Richards à la basse, Ben Ryan au clavier et Darren à la batterie. La démo pré-production du groupe fut publiée en 1992 et appelée "Invoking The Unclean", puis avec un second guitariste, Robin alias Nocturnal Pulse, ils réalisent de nouveau une démo, nommée "Orgastic Pleasures". Au cours de l’année 1992, ils publient aussi une répétition, qui sera "The Black Godess rises". Ensuite, Robin quitte le groupe, pour le réintégrer ensuite à la place de bassiste. Paul Allender vient alors donner un coup de pouce à Paul Ryan à la guitare. Et c'est avec cette formation que Cradle of Filth sort encore une démo, qui sera plus importante : il s'agit de "Total Fucking Darkness", parue en décembre 1993. Ainsi, le groupe dégote un contrat avec Cacophonous Records. De nouveau survient un changement de rôle : Nicholas remplace Darren à la batterie. En 1994 sort le premier album de Cradle après de nombreuses démos : il s'agit de "The Principle of Evil Made Flesh", dont environ 32.000 copies se sont vendues.
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soulfly
18/08/2005 17:31
Biography: Upon his exit from Sepultura in late 1996, singer/guitarist/songwriter Max Cavalera almost automatically set out to form his next musical endeavor, the ultra-heavy Soulfly. Besides leaving one of the most popular heavy metal bands in the world, which he co-founded in the early '80s, he also had to deal with the unsolved murder of Dana Wells, his st...
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Marduk
18/08/2005 17:20
Marduk : The thick red line

On s'en doutait un peu : le temps des barbares est revenu. A l'ouest comme à l'est, au nord comme au sud, ce ne sont que combat meutriers, guerres fratricides, pilonnages incessants et sanglantes batailles. Partout où la diplomatie pète en société en accusant le voisin, la violence des hommes donne son libre court. Il en est de l'art comme du reste, et c'est à se demander si chaque fin de siècle ne doit pas nécessairement amener son lot de carnages, de catastrophes, d'épidémies et de malheurs en tous genres. Pour certains, toute cette violence, canalisée, se transforme en une formidable énergie que l'on ne retrouve plus guère que dans le sport sans dopage, les films X, le ménage et le métal, justement. Depuis près de dix ans, les Suédois de Marduk produisent régulièrement des albums féroces, sauvages, brutaux, subissant les foudres d'une censure qui glisse sur eux comme les injures d'un doberman aphone ou d'un prêlat intégriste aplopléxique : d'inspiration furieuse, "Panzer division Marduk", le petit dernier, est, après "Nightwing" et son concept Dracula, basé sur la guerre totale, de la pochette aux lyrics en passant par les tirs de mortiers et les passages de chars d'assaut ponctuant les morceaux comme autant de clous pointus la chair meurtrie d'un cénobite. De passage à Paris, Morgan, guitariste fondateur des cavaliers de l'apocalypse, nous en touche deux mots à la veille du concert des Artefacts, unique concert français.
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